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    De 12 à 17 ans, les jeunes ont une certaines périodes où les nerfs lâchent très facilement, où ils en veulent toujours plus, où leur excès de colère sont de plus en plus nombreux. Puis on a les petits boutons d'acnés qui surviennent. Les nouvelles joies de la vie. Les amourettes, les coups de foudres, les déprimes, les pleurs, les joies, les peines. Enfin tous ces petits trucs qui engendrent beaucoup de problème. A notre âge on rêve de quelque chose de bien, on en veut toujours plus. On en a jamais assez. On veut faire comme les autres. On est en quête de popularité. On veut la gloire, on veut le bonheur. On vise le sommet. On se dit que tout est possible, que tout est vrai. Puis un jour, on tombe. Une déception, une décision, une mauvaise nouvelle. Puis tout ce qu'on a voulu faire, tout ce qu'on a prouvé, tout ce qu'on a pu faire ... Tout s'effondre. En une fraction de seconde. Puis on commence à déprimer, à s'évader. A devenir agressif, colérique, susceptible. On commence à fumer, à boire, à se droguer. On fait tout un paquet de conneries pour oublier. Oublier le passé. Oublier les moments douloureux. Oublier ce qu'on a traversé. En effet, durant cette période assez longue, on cherche juste une destinée. Bienvenue dans une adolescence mouvementée.


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  • Non, Je ne manque nulle part, je ne laisse pas de vide. Les métros sont bondés, les têtes bourrées à craquer de petits soucis. J'ai glissé hors du monde et il est resté plein. Il faut croire que je n'étais pas indispensable. J'aurais voulu être indispensable,à quelque chose ou à quelqu'un. A propos, je t'aimais. Je te le dis à présent parce que ça n'a plus d'importance.


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  • La meilleure étape de ma vie est l'enfance. J'étais aimable par tout le monde, y'avait pas de jaloux qui m'entouraient ni des hypocrites, mon seul ennemie était l'obscurité, mes seules amies étaient les poupées. Mon loisir préféré était jouer, je me souciais de rien, je n'avais des problèmes qu'avec les lacets de mes chaussures, et je ne cherchais que l'amour de ma mère, la vie était belle.


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  • On devait vivre la vie à l'envers. Tu commences par mourir. Déjà ça élimine ce traumatisme qui nous suit toute notre vie. Tu te réveilleras dans une maison de retraite en allant mieux de jours en jours. On te met dehors sous prétexte de bonne santé. Tu commences à toucher ta retraite. Pour ton premier jour de travail tu as un beau salaire. Tu travailles jusqu'à ce que tu sois suffisament jeune pour profiter de la fin de ta vie active. Tu enchaines les fêtes. Tu bois. Tu couches à droite, à gauche. Tu vis pleins d'histoires d'amours. Tu savoures la vie. Tu n'as aucun problèmes. Tu te prépares à faire des études universitaires, puis le lycée et enfin le collège. Tu t'amuses avec tes amis sans avoir à affronter certaines obligations. Tu suis ton petit bonhomme de chemin jusqu'à devenir bébé. Les neuf derniers mois de ta vie tu les passes flottant tranquillement, avec chauffage central, room service, enfin bref totale. Et pour finir, tu quittes ce monde dans un orgasme


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  • Le temps passe, les choses changent, les gens nous font sourire et nous décoivent, parfois on continue sans y prêter attention, mais au fond, on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien.


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